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Initiative H24, sauvons les urgences de proximité !
L'évolution des techniques a nécessité une certaine centralisation hospitalière pour assurer la qualité des prestations et une prise en charge efficace des urgences médicales. Pourtant, une couverture minimale du territoire est indispensable et il n'est pas rationnel de rabattre l'ensemble de la patientèle sur les urgences d'un seul hôpital central vieillissant et débordé.
Les Fribourgeoises et les Fribourgeois, alémaniques et du Sud du canton en particulier, délaissent donc l'HFR et vont se faire soigner de plus en plus nombreux hors canton. L'HFR perd ainsi une part significative de sa patientèle et s'enfonce dès lors inexorablement dans les chiffres rouges, au détriment de ses prestations, de la qualité de ses services et des conditions de travail de son personnel. L'institution n'est même plus capable de se financer elle-même et encore moins de financer le remplacement de l'hôpital central dont l'inauguration tant attendue est repoussée à des échéances lointaines.
L'initiative H24 prône une couverture rationnelle du canton de Fribourg, en tenant compte de la distance et des langues par la planification de services d'urgences dans le sud, le centre et dans la partie alémanique du territoire. Elle pose ainsi les bases d'une offre de proximité comme cela se fait ailleurs avec succès. Chaque cas d'urgence est trié selon le système de classification international et est, au besoin, transféré après stabilisation vers un centre hospitalier plus pointu tel que l'HFR de Fribourg, le CHUV ou l'Inselspital. Ainsi, on élimine la multiplication des intervenants en proposant à tout un chacun une offre claire et efficace, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24.
Finalement, l'initiative oblige l'Etat à financer correctement ce service de proximité. Car un hôpital n'est pas une entreprise, mais un service public que l'Etat doit soutenir afin de garantir la sécurité nécessaire à l'ensemble de la population, qu'elle soit francophone ou alémanique, ou qu'elle provienne des régions les plus éloignées du canton. L'initiative H24 est donc très raisonnable, économiquement viable, et sera, si elle est acceptée, le premier jalon de la renaissance des services hospitaliers de proximité.
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Pourquoi cette initiative ?
L'offre hospitalière publique diminue année après année dans le canton de Fribourg : fermeture de la maternité de Châtel-Saint-Denis (2000), puis du site (2012) ; fermeture des urgences de Billens (2001) ; fermeture de la maternité de Riaz (2013) ; fermeture des blocs opératoires de Tavel la nuit et le weekend (2015) ; fermeture des blocs opératoires de Riaz la nuit et le weekend (2018) ; fermeture des blocs opératoires de Tavel et des blocs opératoires stationnaires de Riaz (2020) ; fermeture des urgences de Riaz et de Tavel (2020) la nuit ; fermeture du site de Billens (2022). La « Stratégie 2030 » de l'Hôpital fribourgeois (HFR) a accéléré cette réduction, avec la disparition des hôpitaux publics régionaux et leur transformation en « centres de santé ».
Est-il vraiment important de maintenir des urgences 24/24 ?
1. Les urgences, porte d'entrée pour l'hôpital public
Il y a quelques années, les sites de Riaz et Tavel étaient florissants. L'occupation des lits était bonne et la population appréciait son hôpital régional. Les urgences 24h/24h servaient de véritable porte d'entrée vers l'HFR. La présence de l'anesthésie sur le site donnait une sécurité pour les premiers secours, et l'activité chirurgicale permettait de traiter des blessures mineures. L'absence d'urgences sur les sites de Riaz et Tavel pousse les patents à s'orienter vers d'autres structures. En 2018, 28% des patients étaient hospitalisés dans un autre canton (voir ci-dessous) !
2. Surcharge chronique
Fribourg a connu une très forte croissance démographique durant de nombreuses années. Depuis 2015, le rythme s'est ralenti, mais la population continue à augmenter, plus fortement que la moyenne nationale. Les urgences de l'hôpital cantonal sont en forte surcharge et le personnel est épuisé, au point qu'il faut parfois faire appel à des structures privées. La surcharge existe aussi au bloc opératoire de l'Hôpital cantonal, qui doit absorber l'activité chirurgicale de Riaz et Tavel.
3. Une offre répondant aux besoins des habitants
Le Sud du canton représente un bassin de population de près de 100'000 habitants, en croissance continue. Comment justifier la suppression d'un service des Urgences durant la nuit ? Idem pour la partie alémanique du canton : on vante le bilinguisme, mais il n'existera bientôt plus d'offre hospitalière sur le territoire germanophone.
Evolution du coût des hospitalisations extra-cantonales, en millions de francs par an
Pourquoi cette réduction des prestations publiques ?
L'Etat de Fribourg mène une politique de restrictions financières, malgré des finances publiques saines : fin 2020, la fortune de l'Etat de Fribourg se montait à plus de 750 millions de francs, alors que la plupart des collectivités publiques sont endettées. Pourtant, la LAmal (Loi sur l'assurance maladie) permet un financement public plus important, par le biais des prestations d'intérêt général (PIGs). Or, ce financement public a fortement diminué entre la période 2012 à 2014 et 2019 !
La leçon du Covid-19
La pandémie de Covid-19 nous a montré l'importance de garder des structures hospitalières de proximité. Fermer des structures hospitalières en pleine pandémie, il n'y a rien de pire ! Pour Franco Cavalli, oncologue tessinois réputé « Une des conséquences à tirer de cette pandémie, c'est qu'il faut oublier les discours technocratiques sur la diminution du nombre des hôpitaux (…) Au Tessin, où la proportion de personnes touchées par le virus a été comparable à la Lombardie, disposer de quatre hôpitaux publics performants a aussi joué un élément décisif.».
Blocs opératoires : une masse critique insuffisante ?
Les sites de Riaz et de Tavel ne feraient pas assez d'opérations pour être accrédités. On peut inverser les choses : c'est parce qu'on n'envoie pas de patients sur ces sites que le nombre d'opérations est insuffisant ! Pour remettre en route les blocs opératoires à Riaz et Tavel, une équipe chirurgicale et d'anesthésie est nécessaire. Cela a un avantage : garantir la sécurité pour des urgences 24h/24. L'anesthésie sur place est aussi un facteur de sécurité. Aujourd'hui, en cas de réanimation la nuit, il faut appeler le 144, ce qui fait perdre 20 minutes de temps précieux.
Cliniques privées
Lorsque l'hôpital public désinvestit, c'est le privé qui récupère le « marché ». On assiste à une floraison des structures privées : PMF à Fribourg, Bulle Santé, Affidea, clinique CIC à Bulle, clinique privée à Epagny, polyclinique Galenus à Romont… Qui dit structures privées, dit également objectif de profit, médecine à deux vitesses, sélection des cas et pression sur les conditions de travail. L'objectif d'un hôpital privé est le profit, tout le contraire d'un hôpital public.
Remplacer les Urgences par des ambulances ?
Pour compenser la fermeture des Urgences la nuit, il est proposé de développer les services d'ambulances. Une ambulance ne remplacera jamais un service d'urgences de proximité. De plus, faire appel à une ambulance a un coût important, à charge des assurés. Enfin, le nombre d'ambulances à disposition est limité, sans compter les nuisances en termes de bruit et de pollution.
Economie locale, environnement et climat
La suppression des sites périphériques a des conséquences négatives pour l'économie locale : fleuristes, kiosques, boulangers, livreurs… Il faut aussi considérer l'aspect environnemental : les distances pour atteindre les hôpitaux principaux vont augmenter, ce qui représentera plus de kilomètres à parcourir, donc plus de pollution. Ces distances plus grandes vont également affecter l'entourage familial du patient, notamment pour les visites: le contact social va donc diminuer.
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ARGUMENTAIRE |
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« Pour des urgences hospitalières publiques 24/24 de proximité »
Deux nouveaux alinéas sont ajoutés à l'article 68 de La Constitution du canton de Fribourg du 16 mai 2004 comme suit:
Art. 68 al. 3 et 4 (nouveaux) Santé
3. L'Etat garantit un service d'urgences hospitalières publiques 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, situées dans le Sud, dans le centre du canton et dans sa partie alémanique.
4. L'Etat utilise pleinement les modes de financement à sa disposition pour garantir ce service d'urgences hospitalières publiques de proximité, en tenant compte des intérêts régionaux.
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Lettre citoyenne pour des urgences hospitalières publiques de proximité
Avez-vous déjà remarqué à quel point la santé humaine est fragile ? Les confinements de ces dernières années nous l'ont prouvé. L'équilibre entre santé physique et mentale ne saurait être pris à la légère. C'est ainsi que les politiques discutables des systèmes de santé publique ont été placées sous les feux des projecteurs. On a alors vu le manque de lits, un personnel soignant épuisé, le travail à la chaîne des hôpitaux publics. Images d'apocalypse annonciatrices du début d'un effondrement de notre société ? Les angoisses existentielles refont surface. Puis ces nouvelles ont laissé leur place à d'autres actualités « choc », comme si on avait changé de chaîne, refermé un livre. Pourtant, le nombre de lits n'a pas augmenté ; il a même diminué dans le canton de Fribourg, avec la suppression de tous les lits aigus de chirurgie et d'orthopédie des hôpitaux publics de Riaz et de Tavel ainsi que la fermeture de l'hôpital public de réadaptation de Billens. Le personnel est toujours surmené et la portion de services hospitaliers publics continue de s'éroder.
Comment expliquer les longs délais d'attente dans les urgences de l'Hôpital cantonal de Fribourg, pouvant aller jusqu'à 6 heures ? Qu'il s'agisse du vieillissement de la population, du manque de personnel, des vagues d'immigration ou de l'afflux imminent des « baby-boomers » retraités, les raisons invoquées par les managers de l'Hôpital Fribourgeois (HFR) tournent autour du pot : la population est-elle plus vieille à Fribourg qu'à la Chaux-de-Fonds ? Les baby-boomers sont-ils moins nombreux à Berne ? La canicule est-elle plus violente qu'au Tessin ? Comment invoquer le manque de personnel alors que l'administration hospitalière a annoncé il y a une année vouloir supprimer 60 postes de travail à l'HFR ? Cela rend pour le moins difficile la recherche et l'embauche de nouveau personnel.
Il est temps de regarder les choses en face et d'analyser les conséquences de la “Stratégie 2030” du Conseil d'administration de l'HFR. Appelons un chat un chat et un démantèlement un démantèlement. La surchauffe des urgences hospitalières fribourgeoises est la conséquence directe de la politique de centralisation des dirigeants de l'HFR. La suppression des services d'urgences hospitalières de proximité des hôpitaux de Riaz et de Tavel a pour conséquence qu'il ne reste plus que les urgences de la ville de Fribourg pour l'ensemble du canton. Les patients sont obligés de se tourner rapidement vers l'hôpital central, y compris lorsqu'il s'agit de cas légers. En effet, la population ne fait plus confiance aux permanences qui ont remplacé les urgences régionales. Les urgences sont arrivées à un tel degré de saturation qu'on se rapproche d'une médecine de catastrophe. Le personnel est ainsi à bout de forces et les patients en paient le prix.
“Mais qu'en est-il du partenariat public-privé ?” se demanderont peut-être certains. Là encore, il s'agit d'une fausse bonne idée. Si la répartition des cas semble a priori un bon moyen de combiner les forces des différents organes, c'est bien aux dépens des patients… et de l'hôpital public lui-même ! En effet, le canton rembourse seulement les frais d'hospitalisation, à hauteur de 55%, et privilégie par là même les soins ambulatoires, ce qui se traduit par des primes plus élevées pour les citoyens. Entre les cliniques privées, dont l'intérêt se porte majoritairement sur les consultations ambulatoires de spécialités qui rapportent, et les hôpitaux des cantons voisins, le canton de Fribourg finance toujours moins son propre hôpital au profit d'autres établissements. Or, moins de lits ne signifie pas pour autant moins de frais, puisque les services stationnaires doivent rester en place et sont donc déficitaires. Le calcul est mauvais et la population en fait les frais.
Distribuer les patients d'un site à l'autre au nom de la productivité et de la rentabilité, c'est aller à l'encontre de la vocation des professionnels de la santé, ainsi que de l'économie d'ailleurs : voilà bientôt vingt ans que l'hôpital tessinois (Ente Ospedaliero Cantonale (EOC)) ne compte pas moins de 5 sites d'urgences 24h/24 et 7j/7, malgré le nombre élevé d'établissements de santé privés dans ce canton. Il présente des finances bien plus saines que l'HFR, qui, auparavant, avait pour sa part su se constituer en institution forte et proche de la population, avec des hôpitaux de districts compétents. Cette institution est malheureusement en passe d'être réduite à néant.
Ce que l'administration de l'HFR présente comme des centres de santé n'est en réalité que la première étape vers un supermarché de la santé. Les patients ne sont pas des pièces de voitures qui doivent s'adapter aux besoins des cliniques et praticiens privés, ou aux lubies managériales de reconfiguration permanente des services hospitaliers du canton. Le personnel de l'hôpital public n'est ni un rabatteur de patients pour le privé, ni une équipe de manutentionnaires d'une usine en flux tendu. La posture dogmatique du “trop d'hôpitaux” prônée par les managers de l'HFR est dépassée. Il s'agit désormais d'y mettre fin.
Sandro Arcioni Docteur en Philosophie, Vice-Président Senior • Stella Bonnet enseignante EPAC • Sébastien Bossel avocat, Conseiller-général et Vice-président UDC du canton de Fribourg • Catherine Brodard infirmière • Hugo Buchs ingénieur réseau • Magali Cattin Présidente d'association • Franco Cavalli Professeur d'oncologie • Denis Colliard ancien Député • Conférence nationale de santé du SSP • Pierre Cottier ancien directeur école secondaire de la Gruyère • Christian Dandrès Conseiller national PS • Philippe Defferard ancien Conseiller général • Marie-Claire Dewarrat auteure • Luciana Dousse assistante en soins et santé communautaire • Julien Doutaz agriculteur, candidat au Conseil national • Kevin Ecoffey Conseiller service à clientèle dans la vente de voiture • Firmin Esseiva ancien Conseiller communal • Timon Gavallet étudiant, Vice-président UDC du canton de Fribourg • Sylvie Genoud Secrétaire d'association • Muriel Gobet rédactrice parlementaire • Francis Godel Vice-président Conseil de fondation mine-ex • Geneviève Godel Secrétaire de la Fédération Fribourgeoise des Retraités (FFR), section Sarine • Philippe Haenni • Sophia Höpperger étudiante en histoire • Claire Huser Bossel physiothérapeute retraitée • Max Jendly musicien, Prix culturel 2022 de l'Etat de Fribourg • Chantal Kolly catéchiste engagée • Serge Lachat Vice-président d'association • Elisabeth Longchamp-Schneider bibliothécaire-médiathécaire • Inès Marthaler étudiante en sciences sociales, Présidente de la section fribourgeoise des Jeunes POP • Marc Monney agent immobilier • Pierre Morard Conseiller communal • Annick Morard thérapeute RME • Wolfgang Müller Président de la Commission nationale de santé du SSP • Nicolas Naegele étudiant en sociologie et Comité des Jeunes POP Fribourg • Giorgio Noseda Docteur, Président de la commission parlementaire qui a créé la loi hospitalière tessinoise et fondé l'hôpital tessinois (Ente Ospedaliero Cantonale (EOC)) • Gabriel Oberson administrateur et enseignant École secondaire Estavayer-le-Lac, coach foot • Anne Peiry ancienne enseignante Collège du Sud • Raphaël Peiry ancien enseignant Collège du Sud • Rosette Poletti infirmière en soins généraux et psychiatrie • Cornelia Rabier sage-femme • Matthias Rentsch Assistant social et fiduciaire, Morat • Carole Rich chanteuse • Inès Roque Conseillère générale UDC, candidate au Conseil national • Catherine Rouvenaz Secrétaire et porte-parole d'association • Beatriz Rosende Secrétaire centrale de la Commission nationale de santé du SSP • Kathy Rueda infirmière retraitée en soins à domicile • Daniel Savary architecte et chef d'entreprises • Katharina Schatton étudiante en durabilité • André Schibler musicien, initiateur du festival Chansons sur le coeur • Claude Schneider Professeur de musique • Aude Tinguely membre du Comité citoyen Initiative H24 • Christian Waeber mécanicien, électricien • Elvira Wiegers Secrétaire centrale de la Commission nationale de santé du SSP • Liliane Yenni aide-infirmière, animatrice en EMS
Fribourg, le 1er janvier 2023 • Auteur: Comité citoyen d'initiative cantonale fribourgeoise « Pour des urgences hospitalières publiques 24/24 de proximité »
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LETTRE OUVERTE |
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L'argument de pénurie de personnel rend-elle
aussi impraticables les demandes de moyens supplémentaires
que réclament ces associations pour l'HFR ?
COMMUNIQUÉ |
Comment se déroulent les tractations de plus en plus délétères
entre les différents partenaires de l'Hôpital Fribourgeois
COMMUNIQUÉ |
La réadaptation cardio-vasculaire est déjà menacée
INFORMATION GRAND CONSEIL |
COMMUNIQUÉ COMITÉ H24 |
La pénurie de personnel est-elle un prétexte des politiciens
pour désinformer la population sur l'HFR ?
Cliquer ici pour lire le communiqué de presse du 23 mai 2024
COMMUNIQUÉ |
Rétablir l'anesthésie la nuit dans les urgences de proximité:
la sécurité des patients, le soutien au personnel des urgences
et la défense du service public au coeur du texte d'initiative
TRIBUNE |
L'Initiative H24 est porteuse d'une dynamique
de reconstruction de l'HFR
RÉPONSE CONSEIL D'ÉTAT |
COMMUNIQUÉ COMITÉ H24 |
L'Hôpital Intercantonal de la Broye (HIB) dément
les affirmations alarmistes du Conseil d'Etat
et de la direction de l'HFR.
Cliquer sur chaque icône pour lire
notre dossier spécial sur le HIB
DOSSIER HIB (1ère partie) |
DOSSIER HIB (2ème partie) |
Entre incohérence et opportunisme
ou comment le SSP va tout perdre
Cliquer ici pour lire le communiqué de presse du 16 mai 2024
COMMUNIQUÉ |
Edition en ligne de La Liberté du 10 mai 2024:le journaliste de La Liberté
aurait-il des trous de mémoire ?
COMMUNIQUÉ |
C'est en réalité plus de 10 ans de démantèlement
de l'hôpital public cautionné par le Conseil D'Etat
qui mettent la santé de la population en danger
Cliquer ici pour lire notre communiqué de presse
sur la mise en pratique de l'Initiative H24
COMMUNIQUÉ |
L'exemple de Hôpital Intercantonal de la Broye
donne raison à l'Initiative H24
Cliquer ici pour lire notre analyse sur
l'exemple à suivre qu'est l'hôpital régional HIB
COMMUNIQUÉ |
L'Initiative H24 ancre le maintien
des hôpitaux publics dans la Constitution
Cliquer ici pour lire notre dernier communiqué de presse
sur les finances de l'HFR
COMMUNIQUÉ |
Lancement de la campagne médiatique pour le 'Oui' à l'initiative H24
Cliquer ici pour lire le dossier de presse du 12 avril 2024
DOSSIER DE PRESSE |
Une aventure de bientôt 4 ans
pour défendre le service public hospitalier
Cliquer ici pour lire la lettre de mars 2024
LETTRE |
Des propos préoccupants tenus sur les patients
par la présidente de l'ASI Fribourg
Cliquer ici pour lire le communiqué sur ces positions
COMMUNIQUÉ |
Notre position sur le decret soumis en votation le 9 juin
Cliquer ici pour lire le communiqué du 18 mars 2024
COMMUNIQUÉ |
Manque de sérieux des députés Fribourgeois
Cliquer ici pour lire le communiqué du 6 février 2024
COMMUNIQUÉ |
NON au désenchevêtrement des tâches,
une convergence de vues
Cliquer ici pour lire le communiqué du 2 novembre 2023
COMMUNIQUÉ |
Des mesurettes pas à la hauteur de l'enjeu
Cliquer ici pour lire le communiqué du 17 septembre 2023
COMMUNIQUÉ |
Publication dans la rubrique Magazine (page 30)
du journal « La Liberté » du 22 mars 2023
Cliquer ici pour lire la lettre ouverte
LETTRE OUVERTE |
Diffusion d'une lettre ouverte citoyenne le 22 mars
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COMMUNIQUÉ |
Engorgement critique des urgences de Fribourg !
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COMMUNIQUÉ |
Faut-il fermer les structures hospitalières de proximité
Le 12 mai 2022, nous avions invité le Dr. Franco Cavalli, oncologue de renommée mondiale et ancien conseiller national, à venir donner une conférence/débat à Fribourg à l'université de Miséricorde. Le Dr. Cavalli vient du Tessin, un canton qui a démontré la pertinence de maintenir des services hospitaliers publics régionaux performants, tant médicalement que financièrement, notamment lors de l'épidémie de Covid-19.
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de La Gruyère sur la conférence
AFFICHE DE LA CONFERENCE |
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